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Chaque été, c’est la même histoire : j’ai beau avoir passé des mois à chouchouter mes cheveux, ils deviennent ternes, secs et cassants.
Difficile d’y glisser les dents d’un peigne. J’ai tout essayé : ne plus les laver (beurk !), les huiler et les rincer, les laver à l’eau de mer… rien n’y faisait.
En septembre, j’avais du crin sur la tête et lorsque je voyais ma meilleure copine elle me demandait toujours si j’avais bien dormi... Enfin ça, c’était jusqu’à cette année…
Parce que cette fois, j’ai compris que m’occuper de mes cheveux, c’est bien, mais cela ne suffit pas : il faut aussi prendre soin du cuir chevelu.
Car c’est lui qui décide en grande partie de la santé de notre crinière – on vous en dit plus sur la question tout vite !
Il faut donc ouvrir l’œil aux signaux que lui et nos cheveux nous envoient. Autrement dit, dès que cela grattouille ou que cela graissouille, c’est que c’est le moment de changer de shampooing !
Eh oui, tout comme ceux de notre épiderme, leurs besoins évoluent au fil des saisons et des changements que nous traversons. C’est logique, quand on y pense : l’hiver, ils étouffent sous des bonnets ou grelottent dans le froid, tandis que l’été, il se font décaper par le chlore ou le sel de nos baignades et souffrent de la chaleur.
Sans parler — en toute saison cette fois — des agressions dues à l’utilisation d’un sèche-cheveux, d’un fer à lisser ou à friser.
S’y ajoutent les changements hormonaux, existentiels ou alimentaires, la prise de médicaments… Autant de facteurs qui ne sont pas sans conséquence sur l’état de nos cheveux et de notre cuir chevelu, évidemment.
Et autant de bonne raison de leur offrir un shampooing adapté aux circonstances et à leurs besoins du moment.
Mais avoir des cheveux happy, ça commence surtout par un geste tout simple : de la douceur ! Voilà pourquoi j’ai troqué mon shampooing chimique contre un shampooing naturel.
En prime, il est garanti sans paraben. En off record, j’ai découvert que cette substance entre dans la composition d’une foule de produits liquides moussants, y compris ceux pour nettoyer les carrosseries.
Pas étonnant que mon cuir chevelu fasse la moue quand je l’utilise…Vous avez vraiment envie de taiter vos cheveux comme de la tôle ? Moi, perso, vraiment pas !
Aujourd’hui, je sais décrypter les signaux que ma crinière m’envoie.
Des démangeaisons ? Je dégaine mon shampooing Cuir chevelu sensible Suzanne Kaufmann. Il sent bon la lavande et n’a pas son pareil pour le calmer.
J’écoute aussi mes cheveux bien sûr. Ils sont rêches ? Je les dorlote avec un shampooing réparateur et me revoilà avec une crinière toute douce.
Et vous, ça vous tente d’avoir une crinière d’enfer ?
